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 William ▬ Terminée

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William
Hybride Docile
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Messages : 24
Date d'inscription : 22/01/2017

William ▬ Terminée Empty
MessageSujet: William ▬ Terminée   William ▬ Terminée Icon_minitimeDim 22 Jan - 3:39


William



PRÉNOM ▬ William.
ÂGE ▬ 31 ans.

NATIONALITÉ ▬ Américain.
ORIENTATION ▬ Bisexuel.

RACE ▬ Berger Allemand.
GROUPE ▬ Hybride docile.

PARTICULARITÉ ▬ • Tu as une queue de chien tordue dans le dos.
• Tu as les dents un peu plus pointues, en particulier les canines.

Mentalité
Avant, t’étais faible. Mais peut-être que tu l’es toujours au fond de toi ; tu ne peux pas avoir changé du tout au tout, si ? Ne fais pas croire aux autres ce que tu n’es pas. Ta personnalité ne peut pas être ainsi, c’est forcément une carapace. Tu sais, on appréciait ton petit côté de victime, celui qui se jette sur tout et rien et qui s’en prend plein la gueule sans rien dire. Tout le monde a besoin d’un petit punching-ball, et toi, tu étais le petit être parfait pour remplir ce rôle dont personne ne veut.

Et là, que voit-on ? Un être prétentieux. Tu te crois supérieur alors que tu es censé connaître parfaitement ta place, et tu n’hésites pas à imposer ta volonté aux autres, qu’ils le veuillent ou non. Et quand quelque chose ne marche pas et que ça vient de toi, que fais-tu ? Eh bien… Tu rejettes tout simplement la faute sur les autres. Alors là, tu n’as aucune pitié, tu refuses d’admettre tes erreurs et tu préfères rester comme tu es, quitte à empirer de jour en jour. Ils n’avaient qu’à t’écouter, si ton plan ne marche pas, c’est qu’ils ont forcément merdé quelque part. Toi, tu suis les ordres à la lettre, pourquoi pas les autres ?

Tu es un peu naïf à croire telle ou telle histoire. Enfin, ça, on peut pas t’en vouloir, ce sont des bribes de ton ancien toi, comme quoi, tu ne peux pas fuir la réalité. Tu ne peux pas fuir le fait d’être un sale gosse au plus profond de ton être. Après, tu as gardé de nombreux traits te définissant assez bien, comme ta résistance à un peu tout et n’importe quoi, qualité que tu as acquise en vivant dans les rues… En évoluant dans un monde de brute, en fait. Ajoute à cela ta témérité et ta persévérance, le fait de ne pas voir quels risques tu prends pour faire un truc et de vouloir tout faire pour parvenir à ton objectif, tu dois être un peu suicidaire au fond de toi. Et c’est dégueulasse.

Tu as un ego tellement surdimensionné que tu te permets d’être provocateur, d’avoir une grande gueule alors que t’es rien d’autre qu’un sale clébard qui doit se taire et obéir. Tu n’es plus trop docile, mais on ne peut pas dire que tu te rebelles dès qu’on te demande de ramasser un papier que t’as fait tomber. Y’a des limites quand même. Tu es d’ailleurs très loyal et tu as du mal à te séparer de quiconque a su te conquérir. Tu offres aussi une protection pas négligeable et tu n’hésites pas à te battre pour ce qui te semble juste.

Quand tu oses t’ouvrir un peu, tu te montres un peu affectueux sans pour autant aller dans l’excessif ; quelques étreintes, deux-trois mots, et voilà. Tu as du mal à t’exprimer en ce qui concerne ton affection, par contre, tu n’éprouves pas de problème à draguer. T’es assez bizarre comme type, on dirait que tu n’sais pas ce que tu veux. Quand quelqu’un te plaît, tu te montres très empathique, un peu moins envers les autres mais tu as toujours eu ce petit truc qui te permet de comprendre le monde. Bon, tu n’peux pas prédire à quoi ils pensent, mais tu as le flair. C’est d’ailleurs ce qui t’a rendu assez sensible, à moins que ce soit une bribe du passé ? Fragile, va. J’suis sûr que tu pleures dans ton lit tous les soirs comme une tapette, si, si, avoue-le.

Par contre, t’es un peu envahissant quand tu veux savoir ce qui ne va pas chez quelqu’un ; toujours à fourrer la truffe dans les affaires des autres, toujours à vouloir suivre celui que tu as pris pour cible, t’es vraiment collant comme chien. Tu aimerais être un peu plus indépendant, plus solitaire, mais t’as toujours besoin de quelqu’un pour te guider, peu importe sa nature. T’as beau vouloir faire le bien autour de toi, si celui à qui tu t’es attaché est mauvais, ben, tu n’peux pas faire autrement, tu vas devoir suivre, même si tu chercheras à saboter des trucs pour limiter les dégâts. Car c’est toi qui en fais.

Tu as toujours eu ce petit feeling qui donne aux autres l’envie de t’écouter sans pour autant te croire, c’est pour cela que tu as fini par prendre la grosse tête aussi. Avant, personne ne t’écoutait, t’étais juste le mange merde, le gagne-pain, maintenant tu ne veux plus cela. Tu n’aimes pas que les gens aient le contrôle sur toi, tu préfères que ce soit l’inverse, mais c’est un peu difficile quand on est un hybride. T’es extrêmement borné, toi. Tu n’as pas l’air de comprendre ta place, même si on te récompense quand tu fais le beau.

Et franchement ? T’es pas une mauvaise personne. T’es même le type bienveillant, t’es celui qui aimerait sortir les SDF de la rue, si seulement tu étais un humain, tu aurais tout fait pour y parvenir. Tu ne veux pas de mal, tu as beaucoup regretté tes actions du passé. Tu n’aimes pas voir les autres souffrir, et pourtant, t’es vraiment humiliant. Tu fais honte aux autres, mais tu ne remues que rarement le couteau dans la plaie. Par contre, quand on remue le couteau dans tes plaies, tu as énormément de mal à pardonner. T’es un mec rancunier, déjà, tu t’excuses jamais, et en plus, tu veux qu’on te demande pardon ? N’importe quoi.

Mais surtout, malgré ton côté "aimez moi j’suis gentil", t’es extrêmement agressif – mais ça, ce sont les gènes. Tu fais souvent beaucoup de bruit pour pas grand-chose, t’es vraiment le mec qui cherche la merde. À force de l’ouvrir et de provoquer, c’est normal qu’on ait envie de te casser la gueule. T’es également choquant, indiscret, sans gêne, tu n’arrives tout simplement pas à te cacher plus de trente secondes sans avoir envie de foncer dans le tas. Ah, ça, ça te tuera un jour, crois-moi. T’es vraiment un être insignifiant, et pourtant, t’es bel et bien là pour le plus grand malheur des gens qui trouvent ton caractère incompatible avec le leur – ce qui est le cas de beaucoup de gens, just saying.

Un jour, ça va te retomber dessus. Tu n’as pas vu cette épée de Damoclès au-dessus de toi ?

Concernant tes goûts, tu aimes quiconque te tend la main pour te nourrir. Tu tombes très vite amoureux, même si tu n’as pas l’air de l’être au point de vouloir te caser en cinq minutes. Tu dragues souvent, ouais, mais c’est juste pour mettre mal à l’aise les autres. Tu aimes aussi la bouffe, les récompenses, bref, des trucs de chien. Tu aimes un peu creuser des trous et jouer, te dépenser, embêter à ta manière. T’as beau être agressif, t’as besoin de divertissement, sinon ça empire. Tu adores les cacahuètes et tu aimes collectionner des boîtes vides pour les grignoter plus tard. Beurk.

Par contre, tu n’aimes pas qu’on te malmène. C’est fini, maintenant. Tu ne veux plus de cela. Tu veux une vie potable, tu en as marre d’être celui à qui on peut faire faire des tours. Mais t’es naïf, tu vois rien venir, je te rappelle ; alors tu crois que ça ne t’arrive pas souvent. Tu n’aimes pas quand des connards prennent toute la couverture et tu te venges en allant te coller sans gêne pour te réchauffer. Et t’es allergique aux chats, peut-être parce que t’es qu’un clébard fragile et con, au fond de toi.

Morphologie
Tu es un beau spécimen, mais tu ne l’as pas toujours été. Tu n’as jamais été cet homme fort, presque imposant. Non, avant, tu étais ce petit chien des rues gringalet et minuscule. Mais maintenant tu as changé et c’est peut-être bien mieux ainsi. Tu as accumulé les années et ce qui va avec : cicatrices, changements physiques. Et bon sang, t’es tellement mieux comme ça.

Maintenant, quand tu montes sur la balance, tu ne pleures pas sur tes quarante kilos. Tu gonfles maintenant tes muscles, environ cent kilos au compteur. Tu n’es pas très gras même si, comme tout le monde, tu en as un peu. Maintenant, quand tu te mesures, tu es fier d’arborer ce mètre quatre-vingt-dix au lieu de ton piètre mètre soixante-cinq d’il y a quelques années. Tu t’en souviens comme si c’était hier : ta croissance fut très tardive. Et tu as beaucoup complexé à cause de ça. Tu en as surtout beaucoup bavé.

Tu es devenu un homme, un vrai. De larges épaules, des muscles clairement présents, un corps bien sculpté, tu as dû faire pas mal de sacrifices pour arriver à ce résultat. Tu laisses tes grandes mains glisser sur ta peau pâle, blanchâtre, puis sur ces nombreuses cicatrices décorant ton corps ; tu n’es pas plus balafré qu’un autre, mais ces traces sont la preuve de nombreuses batailles qui auraient pu te coûter la vie si elles n’avaient pas été soignées à temps. Certaines semblent plus profondes que d’autres, et les moins visibles ne te préoccupent même plus. Tu continues de parcourir ton corps, inspectant chacun de tes muscles jusqu’à t’arrêter au creux de tes reins. Tu grimaces immédiatement en sachant ce qui s’y trouve : cette queue de clébard. Abîmée, bien sûr, peinant encore à se soigner. Tu es sensible, ici, encore plus depuis qu’elle est tordue.

Tu relèves la tête fièrement pour mieux t’observer. Tu as les traits de ta mère mais le nez et le regard de ton père. Tu es vraiment un mélange bizarre, mais c’est bien ça qui fait ton charme. Tu passes une main sur ton menton anguleux que tu as la chance de pouvoir raser quand on se l’autorise avant de la remonter vers tes joues, tes pommettes légèrement saillantes. Tu observes attentivement ces petites perles qui te permettent de voir d’un bleu qu’on croirait pur jusqu’à ce qu’on s’approche trop de toi : on peut alors voir un soupçon de vert dans ces mirettes, comme quoi, tu ne peux être parfait. Tu entrouvres les lèvres pour observer tes dents légèrement plus pointues qu’un humain lambda. Un énième grondement émet du fond de ta gorge.

Dégoûtant.

Et enfin, ta main s’arrête dans ta chevelure. Tu te bats pour les avoir courts, tu te bats pour les avoir peignés – au pire, le naturel te va tout aussi bien. Cette chevelure blonde se dégradant vers le brun qui te rend irrésistible comme disait ta mère. Toi, tu n’en crois pas un mot.

Il est temps de t’habiller. Comme d’habitude, tu n’as pas grand-chose pour toi. Tu dois encore te contenter d’un t-shirt blanc trop petit pour toi et d’un bas sombre. Quand c’est un mauvais jour, tu as droit à un petit tissu de merde pour te couvrir. Rien d’autre. Tu soupires en pensant que c’était peut-être mieux avant, quand tu pouvais revêtir ce que tu voulais, quand tu pouvais porter ce costume que tu haïssais au début quand il te fallait te mettre au travail.

Histoire
William, t’es né comme un hybride lambda. T’es né d’un mélange qui aurait pu marcher, mais la nature a décidé que t’allais prendre la race de Berger Allemand et pas le Malamute, sûrement parce que le premier est un peu plus fort que l’autre. Tout le monde le sait, les malamutes, ce sont des gros flemmards, suffit de voir ton "frère" qui lui est un malamute, il glande rien toute la journée. Vous avez la même mère, mais pas le même père, alors pourquoi devrais-tu l’appeler frère ?

T’as vécu dans cet élevage jusqu’à tes dix ans, toute cette époque, tu as été éduqué, nourri, logé, presque choyé par tes parents à qui on t’a arraché dès lors que tu as soufflé assez de bougies pour pouvoir finir en boutique pour te faire acheter comme tout le monde. Tu as attendu docilement, même si t’étais naturellement triste d’avoir quitté tes parents sans avoir pu leur coller un ou deux mots. T’as même pas pu leur dire au revoir, si c’est pas triste ça. Mais le monde est cruel, donc on s’en fout.

T’es resté une putain d’année en cage, comme un petit animal. T’as eu du mal à grandir, t’as toujours été minuscule. Au moins, t’avais assez de place derrière les barreaux, hein. En un an, t’as un peu appris à t’endurcir, t’as appris à tenir tête, t’as appris à résister quand tu faisais trop de conneries. Pourquoi ils te laissaient pas faire ce que tu voulais alors que t’étais sûrement le p’tit chien le plus docile de la boutique ? Grand mystère jamais résolu à ce jour.

Une petite famille t’a emmené chez eux, tu n’as rien dit, t’as même kiffé la vie là-bas. Tu étais bien nourri, apprécié pour ton petit caractère, et tu te transformais souvent pour avoir l’air d’être le petit animal de compagnie parfait. Tu jouais souvent avec le petit qui devait avoir le même âge que toi plus ou moins. Tu as beaucoup grandi là-bas, tu as pu atteindre tes seize ans sans problème. Mais ils commencèrent à se lasser de toi, tu commençais à devenir trop cher, et trop chiant. Et ça, t’as jamais compris pourquoi ils t’ont fait ça.

Ils auraient pu te ramener en boutique, mais tu restais tellement sous ta forme animale qu’ils ont finis par croire que t’étais rien d’autre qu’un clebs comme un autre qu’on achèterait en animalerie. Tu remuais la queue joyeusement, pensant déjà à l’endroit où ils allaient t’emmener pour te faire faire une balade, tu avais hâte de ramener le disque, de jouer à la balle, de courir avec le garçon. Mais quand tu as vu cette forêt, tu as cru halluciner.

Vous êtes tous descendus de la voiture, sauf le garçon qui s’était endormi. Tu suivais fièrement tes maîtres jusqu’au fond de la forêt où ils te demandèrent de t’asseoir et de ne pas bouger. Une dernière friandise pour avoir obéi, puis plus rien. Tu as attendu cinq minutes à faire le beau, à tirer joyeusement la langue, puis tu as fini par te douter de ce qu’ils venaient de te faire subir. Un abandon. Sérieusement ? Qu’as-tu fait pour mériter cela ? Pour toi, t’étais parfait, c’était leur faute s’ils te supportaient pas.

Alors tu t’es mis à courir, tu as usé de toute la force dans tes pattes pour les poursuivre ; jamais tu ne les as retrouvés. Tu as alors erré dans cette forêt, tu te sentais observé, tu avais peur, tu étais seul livré à toi-même. Au bout de deux jours, tu as fini par reprendre ta forme humaine, épuisé. Tu étais toujours observé mais seul, jusqu’à ce que des hybrides sauvages décident de te prendre sous leur aile. Bien sûr, tu as immédiatement accepté leur hospitalité ; ils devaient maintenant se coltiner un gringalet de merde qui allait encore plus s’amincir au fil des jours. Tu savais qu’ils allaient te laisser tomber un jour où l’autre, de toute façon, ils te l’ont dit, ils étaient nomades et se séparaient donc souvent.

Tu as passé quelques mois en leur compagnie avant de finir en ville. Ici, tu as erré encore quelques mois à vouloir aider ton prochain, à tenter de soutenir les autres errants. Tu as toujours voulu le bien autour de toi, et ce n’est pas parce que tu étais sans abri maintenant que tu allais abandonner ce qui te faisait briller : ta bienveillance. Tu offrais plus qu’on te donnait, mais tu savais que tes bonnes actions allaient payer un jour où l’autre.

Enfin, ça… Il valait mieux que tu restes dans ces rues crasseuses à manger de la terre.

Des gens sont arrivés vers toi, ils avaient remarqué ta queue traîner un peu partout. Ils ont attendu que tu sois seul dans une ruelle de la ville, ils ont attendu que tu tentes d’escalader un mur pour aller voler deux-trois trucs de bouffe, rien de bien grave. Ils t’ont attrapé par la queue, puis par les bras, puis ils t’ont emmené ailleurs à l’abri des regards.

Ils ont voulu faire de toi un hybride de combat. Un truc carrément illégal, vous savez, les combats d’animaux, tout ça. Ils avaient remarqué ta résistance, tu te faisais souvent marcher dessus et pourtant tu ne disais rien. Alors ils ont cru en toi, ils t’ont nourri, tu as pu enfin finir ta poussée de croissance pour de bon, et après des nuits, pour ne pas dire des années à souffrir en pouvant presque sentir tes os pousser, tu étais prêt à gagner de la force, du muscle.

Tu étais un peu leur petit chouchou, leur bijou en préparation. Ils avaient d’autres combattants en attendant que tu les rejoignes. Ils t’ont entraîné comme un parfait petit soldat, un bon combattant, quelqu’un qui pourrait leur rapporter un bon petit pactole. Tu as gagné beaucoup de force en quelques mois ; tu étais enfin devenu un beau grand garçon. Un bel hybride, le plus beau des clébards. Au début, ils t’ont forcé à rester sous forme animale, comme tu avais l’habitude de faire plus jeune. Ils t’ont fait passer pour un chien, un authentique.

Tu combattais alors dans des sortes d’arènes contre d’autres chiens, tu en ressortais toujours vainqueur, même si, des fois, c’était difficile. Une fois, tu t’effondras sur le corps de ton adversaire, la gueule pleine de sang, et pas que celui de l’autre chien. Une autre fois, tu as failli perdre une patte. Heureusement, tu t’en sortais toujours plutôt pas mal. Toi, tu n’as jamais voulu faire de mal, mais tu étais forcé. Si tu désobéissais, tu étais châtié, et ils étaient trop nombreux pour que tu puisses te les faire pour te barrer. Tu as beaucoup souffert de ces combats, autant physiquement que mentalement. Mais tu ramenais du fric, donc tu étais nourri et tu pouvais continuer à gagner en force à mesure que les combats faisaient rage. Ton ego ne faisait que grandir à chaque fois que tu gagnais un combat, te transformant en véritable connard.

Puis tu as fini dans une vraie arène, au milieu d’un véritable réseau clandestin vivant sous les pieds de la ville sans que personne ne le remarque. C’était dégoûtant. Tu dus alors combattre tes semblables, des hybrides armés de griffes, de crocs, d’épines. Toi, tu n’avais que tes dents et tes points pour te défendre... Et un costume de merde suivi d’un pseudonyme te donnant une identité. Encore une fois, tu t’en sortais de très peu, frôlant parfois la mort, incapable de combattre pendant des semaines le temps de récupérer. Et ce petit manège dura bien trop longtemps à ton goût. Une fois, tu tentas de t’enfuir, ils te tordirent la queue pour que tu te calmes. Première tentative échouée.

Puis deux, puis trois.
La quatrième, c’était la bonne.

Tu t’étais enfui lâchement, prenant tes jambes à ton cou, avertissant ce qu’il se passait sous cette maudite ville aux autorités. Bien sûr, tu avais fait attention à ne pas alerter ces derniers sur ta véritable nature, même si tu puais le chien mouillé à des kilomètres. Ils te laissèrent repartir en t’indiquant le chemin de l’hôpital le plus proche. Ils se sont dits que tu t’étais fait agresser pour avoir trouvé un si gros réseau de connards.

Finalement, tu quittas la ville pour aller vivre en forêt. Tu ne duras pas longtemps, te faisant attraper par des chasseurs passant par là. Tu ne te laissas pas faire au début, mais finalement, tu préféras les suivre docilement. Tu fus emmené, soigné, puis transféré dans une autre ville, à River Town.

Elle t’avait manquée, cette cage.

DERRIÈRE L'ECRAN
PSEUDO ▬ Malo^4
VOTRE CHEMIN ▬ Quatrième et dernier compte (on l'espère)
AVATAR CHOISI ▬ Steve Rogers (Captain America) ▬ MARVEL
PETIT MOT ? ▬ Je suis un connard


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Hayden Hile
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Hayden Hile
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MessageSujet: Re: William ▬ Terminée   William ▬ Terminée Icon_minitimeDim 22 Jan - 8:40

Re bienvenue bichon o/
Je regarderais donc quand je serais sur ordi xD
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Mattveï Hills
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Mattveï Hills
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MessageSujet: Re: William ▬ Terminée   William ▬ Terminée Icon_minitimeDim 22 Jan - 21:14

Steviiiiiiiiiiiie
Re-bienvenu ~ <3
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Hayden Hile
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Hayden Hile
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MessageSujet: Re: William ▬ Terminée   William ▬ Terminée Icon_minitimeLun 23 Jan - 9:53


Tu es validé !

:inlove:

Tu peux aller désormais faire les choses suivantes :

Recenser ton avatar (www)
Recenser ton DC si besoin (www)
Recenser la race si hybride (www)

Demander une habitation (www)
Demander un maître/hybride (www)
Chercher un ou des rps (www)

Et si tu veux, créer ta fiche de lien ! (www)

On te souhaite de bien t'amuser sur GLJ ! ♥️

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MessageSujet: Re: William ▬ Terminée   William ▬ Terminée Icon_minitime

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William ▬ Terminée

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